Le déconfinement ayant déconfiné les techniciens qui ont tourné les images, pris le son et monté tout cela, la vidéo de mercredi (vidéo 3 sur le travail) était la dernière.
Nous aurons donc tourné 25 films (finalement le confinement a été plus long que prévu, au départ). Nous espérons avoir rendu la philosophie accessible et pas seulement pour les élèves de terminale...
Bien sûr le site restera en service et pourra fonctionner comme une banque de données que vous pourrez venir « piller » (vive le hold-up philosophique !), à votre convenance.
Merci encore d'avoir fait un bout de chemin avec nous.
On vous embrasse
L'équipe de l'auberge philo
P.S: au prochain confinement, on se finit le programme...
L'objection que l'on va faire à Hegel est l'occasion de prolonger sa philosophie, plutôt que de lui opposer une contradiction définitive et statique. Le prolongement sera marxiste, ce qui ne nous empêche pas d'envisager une objection à Marx lui-même. On tentera une conclusion en envisageant le "revenu universel d'activité".
On revalorise le travail, grâce à la philosophie d'E.Mounier, de Saint-Paul et, surtout, de Hegel. On analyse le rôle positif que joue le travail dans "la dialectique du maître et de l'esclave". On illustre ce passage un peu compliqué de la philosophie de Hegel à travers le roman de Michel Tournier: "Vendredi ou les limbes du Pacifique".
La problématique est posée : le travail est-il liberticide ou formateur? On envisage dans cette première vidéo la première réponse en s'appuyant sur l'étymologie, la Bible et aussi Marx, l'anarchiste Proudhon et même Nietzsche.
Où l'on comprend pourquoi "l'enfer, c'est les autres".
On creuse avec la notion de "projet" chez Sartre et l'on finit par conclure sur l'apport définitif (provisoirement définitif) et les limites de sa philosophie.