La Religion (3/3)

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Dans cette troisième séquence sur la religion, nous allons voir quelle aide la raison peut apporter à la foi, à travers le fameux "pari de Pascal". Ce dernier n'étant pas pleinement convaincant, nous serons donc amenés à nous reposer la question: pourquoi croire? Nous envisagerons la réponse de Nietzsche qui ne clôt cependant pas le débat. Nous verrons également, chemin faisant, l'idée chère aux philosophes croyants de la relativité du mal (Leibnitz).

La Religion (2/3)

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Dans cette seconde séquence sur la religion, nous envisageons deux autres preuves de l'existence de Dieu (après l'argument ontologique de la première séquence) : la "preuve par les effets" et la "preuve physico-théologique". Ces preuves sont expliquées, analysées et réfutées.

Constatant que les trois grandes preuves de l'existence de Dieu ne sont pas performantes, la raison n'est pas rejetée. Kant qui démontre que l'on ne peut pas démontrer l'existence de Dieu est un croyant!!!

On découvre donc, dans cette deuxième vidéo, le rôle que peut jouer la raison dans nos croyances religieuses.

La Religion (1/3)

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Cette première séquence sur la religion tente de définir le concept. Une différence est faite avec l'église, la secte. Le problème des relations entre la foi et la raison est soulevé, mais pas encore réglé (le sera-t-il jamais?).

Enfin, une tentative de démonstration de l'existence de Dieu est étudiée. Il s'agit de l'argument ontologique, chez Descartes.

NB: une erreur s'est glissée dans la séquence, car je situe Saint Thomas d'Aquin au 11ème siècle, alors qu'il vécut au 13ème siècle et nous n'avons pas voulu retourner le passage pour ne pas rajouter du travail de montage (on bricole avec les moyens du bord).

La démonstration (2/2)

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Cette deuxième séquence sur le Démonstration tire les conséquences des limites de celle-ci, à savoir: la fragilité de ce que nous pensons.

Il s'agira également dans cette deuxième vidéo de souligner le lien entre les limites de la démonstration et ce que nous pouvons dire de la vérité (au programme, également).

Bien sûr, il aurait fallu approfondir et bousculer l'épistémologie de Karl Popper avec les travaux de Paul Feyerabend (autre épistémologue) et proposer, entre l'objectivité et la subjectivité, le concept de "subjectivité générale" (Kant) qui permet de souligner que la vérité existe, qu'on ne peut pas la confondre avec une simple opinion (qui,elle, n'est pas démontrée), mais qui permet de comprendre qu'une vérité, pour démontrée qu'elle soit, n'est qu'une vérité humaine.

De sorte que Dieu, s'il existe, doit bien s'amuser à nous voir faire des sciences (puisqu'il n'est pas limité par la conceptualisation qui, forcément, lisse la réalité.

J'aurais pu prolonger, donc, ces deux séquences, dans cette direction, mais j'ai fait le choix, dans cette "auberge" d'esquisser des problèmes, plutôt que de les solutionner (en tout cas, le tenter).